Que ce soit par le biais du parcours rural et agricole de Jean-Marie ou par le parcours plus urbain et écologiste de Pauline, le constat et les volontés sont les mêmes : vivre avec ce que la nature produit sans lui porter préjudice; profiter de cette richesse qu’elle nous offre sans la dégrader; respecter au mieux ce socle de vie sur lequel nous sommes tous et que pourtant nous abîmons toujours plus et à notre propre détriment. Nous avons conscience de notre impact négatif sur la planète et par nombre de petits gestes et non-gestes, nous souhaitons le limiter au maximum.
Nous aimons notre lieu de vie, nous aimons la beauté et la magie chaque jour renouvelée de ce qui nous entoure et nous souhaitons le partager pour que le plus grand nombre profite d’un moment d’apaisement et de joie dans un quotidien trop stressant.
Nous ne cherchons pas le luxe, nous ne cherchons pas le confort, nous ne cherchons pas la célébrité. Nous avons simplement tristement conscience du fossé qui sépare de plus en plus les humains de la nature et nous souhaitons aider à leur reconnexion: renouer les liens entre les personnes et leur environnement, entre les gens et la terre sur laquelle ils vivent, réapprendre à apprécier les petits bonheurs simples d’une vie au grand air, retrouver les sensations d’une vie plus naturelle, se détacher des trop nombreux artifices et injonctions de consommation d’une société de plus en plus superficielle.
Et c’est pour rester en phase avec nos envies de vie simple mais vraie, de partage, de recherche d’un minimum d’autosuffisance et d’un débouché économique viable à long terme que nous avons souhaité créer notre ferme.
La ferme des Belles natures 